En 2016 aux États-Unis, le rapport d’enquête de Consumer Reports a révélé que le bruit arrivait en tête du classement des plaintes clients dans les restaurants, devant l’attente, le service et la nourriture. Réserver à l’heure d’ouverture ou demander une table dans un endroit plus calme, rien n’y fait, le niveau sonore de ces établissements peut atteindre jusqu’à 80 décibels.
Idem dans les open-space et lieux de coworking. À l’heure où le décloisonnement des espaces est venu améliorer la communication entre les salariés et où l’utilisation des portables s’est rendue indispensable, les questions de l’insonorisation et de l’accès à la confidentialité se posent. Face à ces évolutions, le marché de l’isolation acoustique fait recette. Selon un classement réalisé par Deloitte en décembre dernier, Framery, pionnière dans la conception de cabines acoustiques, compte parmi les start-up ayant connu l’une des plus fortes croissances du continent.
Fini le mobilier discret et uniquement utilitaire, aujourd’hui la gamme ne cesse de s’enrichir : cloisons, panneaux, plafonniers, poufs, canapés et cabines ont fait leurs apparitions. Désormais partie intégrante de la décoration intérieure, ce mobilier qui peut être personnalisé aux couleurs du client et redimensionné en fonction de la superficie, est adopté avec succès et rapidité par ses utilisateurs.
Paravent Swing - © Atema
Pastilles - © Atema
Parason - © Atema